
Le Bab Ilo accueillait le 29 juin Andrew Lamb pour la première fois. Un Free jazz sans concession, manière de montrer que cette esthétique d’une cinquantaine d’année n’a pas fini de bousculer le bain musical ambiant.
Un contraste saisissant entre l’assise quasi bouddhique du saxophoniste, l’économie de sa gestuelle et l’incandescence de la lave qu’il sait extraire de son instrument.
Une ambiance torride, à l’intensité encore augmentée par deux grands talents de la scène parisienne : Yoram Rosilio et Rafaël Koerner. Deux fous de...
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