
Jeu de mot sur Lowe, à qui l’on doit toutes les compositions, et chant d’amour au Free.
Le Free se fait ici totalement incandescent, en particulier grâce au sax de Chad Fowler, mais pas seulement. Le saxophoniste est totalement habité par ces thèmes, par une ferveur communicative comparable à celle des prêches noirs. Sans être à proprement parlé « churchy », on y retrouve la puissance du chant, l’énergie, l’émergence continue, le lyrisme débridé d’un David S Ware, les vagues successives qui mènent aux...
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