
« aïee ! The Phantom ». En ouverture de l’album, un titre à propos de l’influence de la culture Noire, de la communauté , dans la musique d’Horace Tapscott, faite de présences et d’absences. De fait tout l’album déborde de cette influence. Il ne s’agit que de cela. Immédiatement, cette musique vient se lover aux creux de nos circonvolutions cérébrales. Un leitmotiv qu’on ne risque pas d’oublier, fait de tendresse, accompagne ce morceau plus de seize minutes durant. Et sur cette passerelle sensible, un thème qu’il...
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