
Publier deux albums simultanément au cœur de l’été, voilà qui est inhabituel. Mais autant le premier, un trio, recèle de séductions mélodiques, rythmiques, spectrales, autant le second serait a priori plus abrupte : une succession de 18 solos, de trombone, « 18 monologues élastiques ». Ce titre est une révérence respectueuse à cet autre incontournable suisse, Blaise Cendrars, avec ses « Dix neuf poèmes élastiques » qui rompaient avec l’esthétique d’alors.
Quelques pas, quelques souffles, puis un déchirement...
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