
C’est comme dans la Jungle du douanier Rousseau …
On repousse peu à peu les tiges & les palmes, puis les branches et cela devient touffu, dense …
Alors on sort la machette et on commence de tailler …
À mesure de la progression, les cri-sons deviennent peu à peu localisables, puis identifiables, l’obscurité nous pénètre et nous commençons à nous heurter au grain des voix, au gris des cordes …
Ça rore, rung & groei, ça couine, ça luit, ça stride …les doigts avides glissent sur de serpentines formes/masses, prima materia...
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