
On s’attendrait à trouver un trio acoustique trompette-basse électrique-batterie, mais deux des musiciens se dotent d’effets spéciaux, et le troisième, le batteur, fait appel à l’électronique.
Ils placent par moments leur musique dans un espace de résonances, d’échos, de salves de particules, de déploiements, pour une pure jouissance, plutôt à l’écart du jazz, sans verser dans l’improvisation libre, comme dans « Héliogravure ». Ce sont alors des constellations de frappes, des strates qui oublient toute...
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