
Retour au Café Oto de Londres avec un trio guitare-sax-batterie. Un extrait au nom qui laisse perplexe. La musique, quant à elle, nous saisit d’emblée.
Paul Flaherty se lance dans un discours véhément, quasi réduit à tourner autour d’une note, très vite rejoint par les mitrailles erratiques de Chris Corsano, par ses frappes lourdes qui nous crucifient sur place, continûment. Une musique d’une belle intensité dès les premières notes qui nous donnerait déjà une substantielle réserve d’énergie.
Mais on n’en reste pas là. Bill...
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