
La science des arrangements et les couleurs de Duke Ellington percutées par l'énergie iconoclaste du Free, tout cela concocté par l'un des pionniers du BeBop : c'était aussi ça la musique du Big Band de Mingus. Ainsi que l'habileté à faire surgir le talent de sidemen pas toujours bien connus en Europe. Il fallait de la ténacité : lui-même était proprement éreinté par une presse jazz alors bien conformiste.
The Black Saint tient une place à part. Quatre pièces pour une chorégraphie imaginaire, la 4e étant en trois parties . Une...
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