Benoit Cancoin (b) aux Sorins par Claude Parle
2e chronique à propos d'un seul concert ? Pourquoi pas .
D'autant que ça inaugure une série de trois chroniques par Claude Parle
Hèle, happe, hèle, ile en corps … Pizz à corps perdure … L’accord à vif sol …. y tu de … mais ça percute au si ! …Orbitales …
La ré sonnance oui, Monologue ? …
Cela, imperceptiblement est devenu dialogue mais sans origine évidente … Parce que l’archet se substitue au doigt, le poignet à la main …
S’enlier, oui, enlier le crin à la corde, le poil aux tripes ! …
Crins & chuchotements …
Mais au dedans du solo, à mi course, l’archet se fait supplique, sous son effet la corde chante, les harmoniques se développent, le son devient musique.
Il reste impossible à comprendre l’accord complet que l’instrument délivre lorsque toute l’étendue de son registre développe ses harmoniques en un long & sinueux parcours …
Déployer l’extension complète de ce long manche ramassé en un accord unique …
Comment est-ce en fin possible ?
y aurait t-il une note qui ls contiendrait toutes ? …
Etait-ce là ce que Platon avait halluciné ? …
Est-ce là ce que Benoit a réalisé ? …
C.P
Une autre chronique là
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